Les femmes fontaines

Un maître demanda un jour à une petite rwandaise quel était le temps de conjugaison du verbe dans l’affirmation «Je suis enceinte». Elle répondit alors: «Ce n’est que l’imparfait du préservatif». Des chiffres rapportent cependant qu’en Afrique, on n’utilise que très peu le préservatif. Ils seraient trop peu commodes pour atteindre un réel plaisir. Surtout que ce dernier est dépendant de pratiques et habitudes sexuelles propres à certains pays africains. Les Rwandais, par exemple, ne manquent pas de pratiques inusitées, qui n’ont rien à voir avec la polygamie ou l’excision, désormais interdite dans ce pays. Alors que d’autres pensent à l’élongation du pénis, les Rwandaises privilégient plutôt l’étirement des petites lèvres de la vulve qui augmenterait la sensation de plaisir chez la femme. Une pratique courante au Rwanda qu’on inculque chez les jeunes filles dès l’âge de 13 ans. La tradition est si implantée que les femmes qui ne s’y conforment pas font honte à leur mère.

Autre pratique qu’apprécient particulièrement les Rwandais: en position assise avec sa partenaire, l’homme lui tapote le sexe avec son pénis. L’éjaculation féminine étant si abondante au terme d’une telle pratique qu’on les surnomme «les femmes fontaines». Les hommes ont intérêt à installer un tapis sur le lit pour éviter de le tremper! Surtout que la priorité pour un homme rwandais est de satisfaire sa partenaire, ce que bien des femmes d’autres pays envieraient aux Rwandaises. Voilà un plaisir bien au profit des marchands de couches et des draps housses, si toutefois ces genres d’accessoires sont utilisés, n’est-ce pas?

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