C’est bon d’en faire !

En plus des sensations intenses qu’ils procurent, les rapports sexuels sont bénéfiques pour la santé. Ils augmentent l’espérance de vie et limitent les risques des problèmes cardiaques et de certains cancers. Il faut donc faire l’amour plus souvent et voici pourquoi. D’abord, c’est relaxant. Des relations sexuelles régulières, voire quotidiennes, réduisent la sécrétion de cortisol, hormone du stress. En plus, on fait de l’exercice. Lorsqu’on fait l’amour, on brûle en moyenne 3,6 kcal par minute.

Et ça renforce les défenses immunitaires, car plus on le fait, plus le corps sécrète de l’immunoglobuline 1, un antigène produit par le corps en première ligne pour lutter contre les virus. Et ça rajeunit! Si on le fait plus de 3 fois par semaine, on paraîtra 10 ans plus jeunes que ceux qui le font moins de 2 fois. Si aimer est une affaire de cœur, faire l’amour deux fois par semaine diminue de moitié les risques d’attaque cardiaque! Et puis -et ça s’est bien avéré-, ça soulage des douleurs en général et de la migraine en particulier… Le prétexte de la migraine pour ne pas faire l’amour est donc à… bannir! Faire l’amour réduirait même le risque de cancer de la prostate… Éjaculer plus de 5 fois par semaine durant une vingtaine d’année réduit d’un tiers ce risque. Autre avantage, l’éjaculation chez les hommes provoque une libération de la sérotonine et les opioïdes, deux hormones qui ont la particularité d’endormir très rapidement.
Avoir une belle peau: lorsqu’on fait l’amour, le corps libère d’importantes quantités d’œstrogènes et d’ocytocines. Cela augmente la synthèse du collagène et de la testostérone, des éléments nécessaires pour avoir une jolie peau. Enfin, cela rendrait aussi plus intelligent. Une étude menée sur des rats a prouvé que l’activité sexuelle augmente la qualité des connexions entre les neurones et fait grossir le cerveau.
Après tout cela, qui osera dire qu’il n’a pas été averti? Et on sait tous ce que vaut quelqu’un d’averti…

Signature à Rabat d'une convention de partenariat au profit du personnel de la Santé publique
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