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Lors de la première journée de ce symposium, 8 ateliers ont fait l’objet de discussions. Le premier atelier, intitulé «Coupe d’Afrique des nations: compétition et cahier des charges», a mis le point sur l’évolution du format de la compétition (périodicité et dates de la phase finale), l’harmonisation du calendrier international, la libération des joueurs pour la CAN et les tours préliminaires de la CAN et du Mondial.
Dans le deuxième atelier, «Compétition inter-clubs», les participants ont évoqué l’évolution des formats des compétitions et standards et l’homologation des compétitions, alors que le troisième atelier a été consacré au «Développement du football». Il a porté sur les aspects médicaux et le fléau du dopage. Pour ce qui est du «Football des jeunes», objet du quatrième atelier, les discussions se sont axées sur le format des qualifications, les centres de formation et les nouvelles tranches d’âges.
Le cinquième sujet a porté sur les partenariats internationaux. Quant aux sixième et septième ateliers, l’accent a été mis sur la communication et le marketing, ainsi que la couverture télévisée.
Le sujet du dernier atelier s’est intéressé au rôle et aux perspectives d’un footballeur vis-à-vis du football africain à l’international.
Pour rappel, le chef de gouvernement, Saâd-Eddine El Othmani, le président de la Chambre des représentants, Lahbib El Malki, plusieurs membres et responsables gouvernementaux et le président de la FIFA ont pris part à la cérémonie d’ouverture. Tout comme d’anciennes gloires du football africain, comme Joseph-Antoine Bell, Rabah Madjer, Ahmed Faras, «Jay-Jay» Okocha, Badou Zaki, Anthony Baffoe, Mohammed Timoumi, Hossam Hassan, Patrick Mboma et Gérémi Njitap.
A l’heure où nous mettions sous presse, les travaux n’étaient pas clos. Nous y reviendrons.
Ghita Hanane
