L’encours des créances en souffrance du secteur bancaire a bondi de 12% à fin juillet à près de 40 MMDH. La hausse de ces créances se traduira par un effort supplémentaire des banques au niveau du provisionnement. Cela devrait donc mécaniquement ralentir l’évolution de leurs résultats. La dégradation du portefeuille des banques s’intensifie, alors même que l’octroi de crédit s’est ralenti. Les créances sur la clientèle n’ont pratiquement pas bougé, comparées à fin 2012.