Plus que malade, le chef de file du Polisario, Mohamed Abdelaziz, doit être agonisant, ou alors tombé en disgrâce, pour n’avoir même pas pu assister aux ridicules «manœuvres militaires» que le Mouvement séparatiste a organisées les 29 et 30 mars, à Tifariti.
Des manœuvres supposées faire peur… au Maroc ! Mais, pour l’heure, les seuls qui aient peur, sur le terrain, sont ceux que protégeait Abdelaziz et qui voient sortir les griffes et les crocs des prétendants à sa succession.
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