Ce lundi 16 septembre, en séance plénière du Conseil des droits de l’Homme, à Genève, l’ONG mauritanienne «Mémoire et justice» a appelé à une enquête internationale sur les cas de disparition forcée et d’assassinats dans les camps de Tindouf, ajoutant qu’après «40 ans d’impunité», «les familles des personnes disparues, assassinées ou détenues dans les geôles du polisario dénoncent le mutisme sur ces abominables crimes».